..."Lassée de voir son fils de 10 ans indécollable de son Nono ( jour ,nuit vacances ,école, voyages) et vivant dans l’angoisse de l’oublier -ou pire de le perdre- quelque part, elle s’était dit qu’en l’immortalisant dans un portrait officiel, Joseph s’en détacherait plus facilement. Je trouvais cette idée brillante, et m’empressait, après le portrait de Nono de peindre les chiffons de mes deux garçons, le « chouchou » de Hugo, le «Chagri » de Martin etc. Joseph, n’a pas lâché Nono, mais j’avais une belle expo. ."...